lundi 27 août 2007

Le guete


Le guete est l’endroit où on garde les moutons et les chèvres. Où ils passent la nuit. Ca veut dire enclos.

On y met jamais un mouton ou une chèvre en ceinte car il risque d’avoir de grand danger avec les autre béliers, car tout leur temps ils se battent. Même les enfants viennent là bas, ils disent « moi je suis pour celui là », « et moi je suis pour celui là », car ils sont habitués à les voir se battre. Leur bataille s’appelle mbeuckeunte. Ils le font sans presque le sentir car ils y sont habitués.

Parfois même les propriétés les détachent pour avoir un peu de liberté. Quand on leur amène de la nourriture ils mangent comme des fous.

Mais quand on les tue, franchement on a une belle viande. Bon appétit !

Romario.

Le thiep bou dien


Le thiep bou dien est un des plats préférés des sénégalais. C’est une tradition ancienne surtout des saint-louisiens.

Il existe deux façon de faire le thiep bou dien : on peut avoir le thiep bou wekhe, dans lequel il n’y a pas de tomate, ou le thiep bou khonk dans lequel il y a de la tomate.

Il est bien préparé dans les familles saint-louisiennes. On peut le manger 6 jours sur 7.

Romario.

La vendeuse


C’est une vendeuse de poisson qui allait au dépôt pour acheter et pour revendre. Leur métier est très difficile car elles sont des marchandes ambulantes. Elles quittent à 7 heure après l’arrivée des pirogues et elles vont en ville pour revendre leur poisson afin d’en tirer des bénéfices qu’elles vont apporter aux piroguiers et d’être payé.

Elle met un grand bol sur sa tête rempli de poissons frais, par exemple le ngot, le capitaine, le yabooy ou sardine, le kibaroot, ou le thiof. Ce sont les poissons les plus aimés par la population saint-louisienne.

Après leur métier elles s’endorment comme des folles, mortes de fatigue.

Romario.

Le chariot


Ils sont utilisés pour les visites de haute valeur ou des visites touristiques en ville.

Parfois les chevaux peuvent être de différente race : le narugeur, le cheval traditionnel ou diambar, le cheval rase ou fete.

Ils sont très importants pour le transport sur la ville .

Parfois les femmes l’utilisent ou le prennent pour aller au marché et ça, c’est la tradition.

Romario.

samedi 25 août 2007

Légumes et poisson séché



On apreçoit au marché des légumes déposés dans des tables en bois et des poissons séchés ou fumés. Il y a de la tomate, de l'oignon, du rofe, du citron, du piment tyson ou du piment en poudre. Mes poissons secs ou fumés s'appellent yete, guedi yess, guedi boun, guedi tamba djam et guedi simple. Les guedis (poisson fumé) sont préparés à Guet Ndar près des cimetière musulman au bord du fleuve où les pirogues apportent tout leur poisson pour le vendre. Certain poissons sont vendus, d'autre sont conservés pour être préparés comme le guedi et le kethiakh.
Romario.

Au marché


C'est au marché de Saint-Louis, le troisième marché de Saint-Louis près de la station Total. On y trouve beaucoup de vendeurs installés dans des tables au des boutiques en bois qui exercent leur métier. Il y a des petites boutiques qui vendent des produits en sachet comme Adja stick, les Maggi etc. Il y a aussi des tables pour vendre les légumes, les poissons fumés et les poissons. Même il y a des femmes qui vendent leur poisson préparé, avec les écailles enlevées qui n'attend que d'être cuit. Il y a aussi les légumes pourris pour vendre aux propriétaires de bétail.
Romario.

Les khassaydes


Ce sont des khassaydes comme à l'image de Sindidy Ya lahou écrit par Serigne Touba Khadimou Rassoul, fondateur du mouridisme pour faire reprendre l'esprit des gens à la religion et à la tradition. Ca nous aide à prier au bon dieu pour résoudre nos problèmes. C'est l'hymne national du mouridisme et ces pages représentent leur drapeau. C'est intéressant pour un véritable mouride de l'avoir car il saura que Serigne Touba est toujours à ses côtés.
Romario.